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Acquisitions

De nouvelles œuvres rejoignent les collections!

Le Palais des Beaux-Arts poursuit sa politique d'enrichissement des collections grâce au soutien de généreux donateurs.

Tablette à écrire - A.Vasseur, La Visite au musée de Lille - L.Frédéric, Le triptyque de la légende de st François.

Arnould de Vuez (Saint-Omer, 1644 – Lille, 1720)
La Prédication de saint Jean-Baptiste - Huile sur toile

Arnould de Vuez répond tout au long de sa carrière à de nombreuses commandes pour les institutions religieuses de Lille et sa région. Déposée en 1997 au moment de la réouverture du musée, cette esquisse vient compléter un fonds déjà riche d’œuvres du même artiste.

Don Annie et Jean-Pierre Changeux, 2017
Tablette à écrire : scènes courtoises - France (Paris ?), vers 1340-1350 - Ivoire

Orné de scènes figurant des phases du jeu de la séduction, cet objet précieux illustre le goût des élites pour les sujets inspirés de romans courtois et de la vie galante au XIVe siècle. Il est présenté aux côtés d’autres ivoires sculptés à l’époque gothique. Don Amis des musées de Lille, 2018

Adolphe Vasseur (Tournai, 1836-1907)
La Visite au musée de Lille - Crayon, plume et encre brune, lavis brun, aquarelle et gouache

Cette aquarelle montre une vue de l’ancien musée de peintures de Lille en 1885, alors qu’il était encore situé au palais Rihour. L’aspect documentaire de cette aquarelle est capital pour la mémoire du musée et son histoire. Don Amis des musées de Lille, 2018

Léon Frédéric (1856-1940), 

Le triptyque de la légende de saint François.

Ce tableau est le premier chef-d’oeuvre connu de ce grand peintre belge. Sur fond d’un paysage changeant au fil des saisons, il évoque l’idée d’une communion de l’homme et de la nature. D’inspiration symboliste, le tableau rejoint Le Sommeil, cette fresque monumentale de Puvis de Chavannes, présentée dans la même salle.
Acquisition réalisée grâce au soutien de la Fondation Crédit Agricole Nord de France.

Deux céramiques de Lille, 

Faïencerie Masquelier, XVIIIe siècle.

C’est par un heureux concours de circonstances que deux plaques en faïence apparues sur le marché de l'art viennent rejoindre la troisième plaque conservée au musée. Elles forment à nouveau un ensemble exceptionnel de trois tableaux, évoquant des scènes champêtres. Elles ont été réalisées par l’une des plus grandes manufactures lilloises du XVIIIe siècle, la faïencerie Masquelier.
Acquisition réalisée grâce à M.Camille Leprince et aux Amis des Musées de Lille.